
Un verre de l’amitié s’est partagé durant ce temps où des sentiments mêlés de tristesse à la perspective de voir les sœurs partir mais aussi de joie pour tout le vécu habitaient les cœurs.
Les sœurs étaient implantées dans le village dès 1648, soit 2 ans avant la reconnaissance officielle de la congrégation au Puy par Monseigneur de Maupas.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom »][vc_column column_padding= »padding-2-percent » column_padding_position= »all » background_color= »#f4e1c8″ background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »10px » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none »][vc_column_text]
Homélie du P. Louis MASSARDIER
Dunières, dimanche 27 février 2002
Avant de vouloir changer les autres, il vaut mieux commencer par se changer soi-même. Voilà ce que semble nous dire l’Évangile de ce jour.
C’est vrai : il nous arrive fréquemment de juger les autres, de repérer les défauts de ceux qui nous entourent, de nous laisser agacer par telle ou telle attitude, en oubliant que nous provoquons souvent les mêmes réactions chez ceux qui nous côtoient. Que d’énergie, que de temps, que de paroles perdues à vouloir que les autres nous ressemblent ou en tout cas soient différents de ce qu’ils sont !
Pourtant, il n’y a pas qu’un seul Évangile, mais bien quatre. Il n’y a pas qu’un seul apôtre, mais bien douze…, et de sensibilité et de tempérament bien différents.
Il y a un mot qui m’a interpellé dans cette page d’Évangile et qui revient quatre fois. C’est le mot « frère ». Il ne s’agit pas de regarder la paille dans l’œil d’un inconnu, mais dans celui d’un frère (ou d’une sœur). C’est ce que Jésus rappelle à ses disciples. Et il leur dira même : « Vous n’avez qu’un seul maître pour vous enseigner, et vous êtes tous frères. »
Nous sommes des frères et des sœurs en chemin, chacun avançant à son rythme, à sa manière et avec ses priorités, mais tous désireux de suivre en vivant au mieux cette fraternité. Nous avançons tous avec ce que nous sommes, parfois avec assurance, parfois avec crainte. Nous faisons tous des erreurs, parfois même nous pouvons nous tromper de chemin ; mais nous allons de l’avant, et nous devons tenir ferme, sachant que la peine que nous nous donnons ne sera pas perdue.
Cette fraternité, vous en êtes les témoins, et même les actrices, mes sœurs, vous et toutes celles qui vous ont précédées. Vous la vivez au jour le jour, avec ses hauts et ses bas, avec le bonheur de vivre en communauté, mais aussi parfois avec ses difficultés et ses petits drames.
Mais, au service de la paroisse et surtout des enfants, vous avez dépensé toute votre énergie et mis en œuvre vos qualités humaines et spirituelles. Et là, je pense à la dernière phrase de notre Evangile : « L’homme bon tire le bien du trésor de son cœur qui est bon ».
Celles et ceux – et ils sont nombreux – qui vous ont vu agir et parler, qui ont bénéficié de votre présence attentionnée, de vos conseils, de votre pédagogie, peuvent témoigner de votre grand cœur. Vous avez vécu pleinement, je crois, cette parole de Jésus que l’on trouve dans un passage des Actes des Apôtres : « Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir ». Je ne sais pas si vous avez beaucoup reçu ; mais je sais, et nous savons, ce que vous avez donné. Vous avez donné votre vie au Seigneur, et il vous a tournées vers nous.
Mais je ne vais pas trop m’étendre sur ces remerciements, on le fera à la fin de la messe.
En fin de compte, Jésus, dans l’Evangile, nous propose de changer notre cœur, il nous appelle à une conversion profonde qui va bien plus loin qu’un banal savoir-vivre social. Nous savons que le monde parfait n’existe pas – on le voit bien sur certains lieux de notre planète –, et on pourrait dire que ce monde, loin de progresser vers la justice, la paix et le partage, semble se complaire dans l’égoïsme et le chacun-pour-soi.
Nous savons que le Royaume de Dieu se construit patiemment, jour après jour, pierre après pierre. Il nous est donné d’y jouer notre rôle : nous sommes là pour semer, et aussi pour porter des fruits dès cette vie.
Nous allons dans quelques jours entrer dans ce temps de Carême. Nous pourrons vivre mieux la fraternité en donnant un peu de temps à la prière personnelle ou communautaire, à la parole de Dieu et au partage.
Alors, peut-être, nous ne verrons plus les poutres ou les pailles dans l’œil de chacun, mais nous découvrirons des cœurs toujours plus ardents pour le Seigneur et pour les autres. AMEN.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom »][vc_column centered_text= »true » column_padding= »no-extra-padding » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »3px » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none »][vc_gallery type= »flickity_style » images= »8369,8339,8338″ flickity_controls= »pagination » flickity_desktop_columns= »1″ flickity_small_desktop_columns= »1″ flickity_tablet_columns= »1″ flickity_box_shadow= »none » onclick= »link_no »][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom »][vc_column column_padding= »padding-2-percent » column_padding_position= »all » background_color= »#f4e1c8″ background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »10px » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none »][vc_column_text]
Mot de la paroisse – Remerciements de la paroisse de Dunières
La communauté des Sœurs Saint-Joseph est présente depuis 1648, Dunières étant la première fondation officielle. Chassées à la Révolution, les sœurs se tiennent cachées jusqu’en 1813 ; l’école de filles sera ouverte en 1827.
C’est donc entre 16 et 20 générations qui ont côtoyé la communauté dont la mission est : créer des liens avec Dieu et les hommes en répondant aux besoins matériels et spirituels du lieu d’implantation. Durant toutes ces années, à l’école, les religieuses chargées des enfants, leur ont appris à lire, écrire, compter, prier et découvrir l’Amour de Dieu, comme en écho à la phrase de l’Evangile de ce jour : « Le disciple n’est pas au-dessus du maître, mais celui qui est bien formé sera comme son maître
Puis, au cours du 20 ème siècle, l’Action Catholique des Enfants est née, et c’est donc auprès des Perlins, des Fripounets, et avec la garderie d’été, que leur activité s’est déployée. Cette garderie, suivie du patro pour les plus grands, fut l’ancêtre de l’actuel centre aéré public. C’est avec l’énergie à se dépenser dans la simplicité, l’humilité, l’écoute et l’attention aux plus faibles que les sœurs ont œuvré.
Toutes trois enseignantes, Sœur Paul, Dunièroise, y a fait environ 70 ans de carrière, et même retraitée, a continué le soutien scolaire jusqu’à peu.
En 1995, Sœur Michèle, native d’Aulagny, arrivait de Sainte-Sigolène, après 45 à 50 années de présence, et en 2009, Sœur Nicole, née à Lapte, les rejoignait, quittant Saint-Front et Fay après 40 ans d’enseignement.
S’agissait-il de retraite pour autant ? Non, elles s’investissent dans la paroisse : caté, équipes liturgiques, art floral, Mouvement des Chrétiens Retraités, et d’autres activités sans doute très discrètes.
Nous sommes tristes après ces 374 années de présence de voir se fermer cette maison que tout le monde a fréquentée. Nous sommes tristes de perdre nos trois sœurs ; elles faisaient partie des rencontres quotidiennes et de la vie de la commune. Mais nous savons que c’est pour le confort que réclame leur santé.
Merci à la Communauté pour sa présence depuis si longtemps et pour le travail accompli par les nombreuses religieuses. Merci à vous Sœur Paul, Sœur Michèle, Sœur Nicole, pour votre dévouement et votre disponibilité.
Que le Seigneur vous garde dans sa Paix et vous bénisse dans cette nouvelle tranche de vie.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom »][vc_column column_padding= »padding-2-percent » column_padding_position= »all » background_color= »#f4cd9a » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »10px » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none »][vc_column_text]Mot prononcé à la fin de la messe par Emmanuel DURSAPT, Administrateur diocésain du Puy en Velay
Mes chères Sœurs, filles de St Joseph, presque 4 siècles de présence !
Votre arrivée ici a précédé de 2 ans la reconnaissance officielle de la Congrégation des Sœurs de St Joseph en 1650 : l’évoquer suffit à laisser pressentir la force de l’implantation de votre présence.
La présence, la proximité… Voilà le secret du succès missionnaire à travers les temps ; présence et proximité dont nous cherchons de nouveaux modes aujourd’hui parce que nous constations que nous ne pouvons pas l’être de la même manière tout en constatant aussi qu’elles sont incontournables.
Vous avez partagé la vie des hommes et des femmes de cette terre ; dans les siècles vous avez accompagné leurs joies et leurs peines mais… fortes de l’Espérance d’être levain dans la pâte, vous ne l’avez pas fait seules, vous l’avez fait dans l’Esprit du Père et du Fils parce qu’en réalité, Lui seul nous ajuste à la mission. Combien de générations ont été instruites, de jeunes qui se sont succédés et dont vous entrevoyez encore les visages ? Combien de cœurs consolés par une parole d’encouragement, de compassion ? Combien de personnes marquées par la seule présence ?… Simplement parce que la présence des consacré(e)s est toujours une bénédiction pour un peuple… À ce titre, il y a quelque chose d’irremplaçable lorsqu’une communauté religieuse s’en va.
Et pourtant, une part de votre mission est celle de tout baptisé parce que la mission NOUS concerne tous et toutes, que nous soyons jeunes ou moins jeunes, que nous soyons en pleine forme ou jusque sur le grabat : si le Christ est important pour nous, donnons-Le, c’est alors que nous serons les vrais dépositaires de ce que vous nous laissez.
MERCI mes Sœurs et, avec votre prière sur laquelle nous comptons, continuons notre marche ![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom »][vc_column column_padding= »padding-2-percent » column_padding_position= »all » background_color= »#f4e1c8″ background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »10px » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none »][vc_column_text]
Mot prononcé par le maire : Mr Pierre DURIEUX lors du verre de l’amitié
Mesdames, Messieurs, très chères sœurs,
Ce n’est pas sans émotions que je m’adresse à vous aujourd’hui au nom de la commune de Dunières.
Je cite l’Abbé Ploton qui écrivait ceci dans son livre sur Dunières :
« Vendu comme bien national, rétrocédé à ses anciens propriétaires qui le revendirent aussitôt à un particulier, puis acheté par les sœurs de St Joseph qui le firent réparer et reconstruire pour y établir leur communauté et une école de filles, le vieux château (dit château bas) survit seulement par quelques vestiges sauvegardés et le souvenir de ses anciens seigneurs ».
Voici le départ des religieuses St Joseph dans notre commune de Dunières : nous sommes en 1648.
Depuis, il s’en est passé des évènements. « Heurs et malheurs d’une communauté rurale » tel est le titre du livre de l’abbé Jean Ploton. Ce titre s’applique à notre ruralité dans son ensemble.
Je ne vais pas reprendre le passé, mais votre congrégation de religieuses, tout comme celle des religieux des frères du Sacré Cœur et les enseignants dans leur ensemble, tant public que privé, vous avez inculqué le savoir, le partage, le respect, le devoir, le travail, la réflexion, la pensée, l’initiative, le collectif.
Grâce à vous, votre enseignement, les jeunes, vos petits ont construit leurs vies, leurs communes, à Dunières et ailleurs.
Durant ces longues années, par votre force, votre courage et détermination, vous avez tout mis en œuvre pour construire les moyens d’accueil et d’enseignement et ainsi, donner le meilleur aux enfants.
C’est pierre par pierre, agrandissement après agrandissement, calculs après calculs que vous avez édifié ce que nous voyons aujourd’hui. Ceci, sans un mot, sans une plainte, uniquement au service de Dieu, des enfants et des parents.
Quand nous arrivions, oui, j’ai été un de ces bambins, nous ne pensions même pas aux soucis d’intendances que vous aviez : la chaudière, l’eau qui gèle, l’énergie qui augmente, les fournitures scolaires, la cantine, l’internat, et j’en passe…
Votre foi a été plus forte.
Certes il y a eu les cours, le sévère, l’ordre, mais aussi les après cours.
Les vacances avec la garderie, les jeudis, remplacés ensuite par les mercredis avec les Perlin Pinpin et Fripounet. La vie battait son plein autour des cris et rigolades d’enfants. Bon, je ne cache pas que nous avons bien fait quelques bêtises, mais il y a prescription. (Anecdotes sœur Paule).
Ce que j’évoque est tout récent par rapport à votre installation au XVIIème siècle, mais je suis sûr que le vécu s’est répété.
J’ai assisté à la dernière sortie scolaire des enfants fin octobre. Moment émouvant, historique, mais moment d’espérance aussi.
Voyant démolir les bâtiments de l’hôpital Ste Marie au Puy en Velay, je dis à une tante religieuse de Ste Marie si elle n’était pas attristée de voir cette déconstruction.
Elle me regarde et me dit « Pourquoi ? La mission est accomplie ».
Dans chaque projet, engagement, dans la vie il y a un début et une fin, l’Alpha et l’Oméga.
Oui, aujourd’hui, nous sommes tous rassemblés pour votre départ de Dunières vers votre maison de Monistrol.
Sœur Michèle, Sœur Nicole, Sœur Paule, vous pouvez être fières de votre mission. Mission à Dunières ou ailleurs. Elle est largement accomplie. Soyez assurée qu’elle va perdurer par ce que vous avez transmis aux enfants, aux parents qui vont témoigner et transmettre à leur tour.
Je souhaite que le bâtiment de l’école reste le témoin de cet engagement, des valeurs que vous y avez semées. Qu’une transformation, qu’une rénovation, lui permette d’accueillir des jeunes, des parents. Que ce bâtiment participe à la vie de notre commune. Qu’il recrée la centralité historique formée avec l’église au moyen-âge.
Les élus ont souhaité vous remettre un cadeau en signe de reconnaissance qui s’adresse aussi à votre congrégation. Il s’agit de la médaille de la commune de Dunières.
Ce signe est celui d’une commune rurale qui est fière de son histoire, et qui grâce à l’enseignement que vous avez dispensé depuis presque 400 ans, est confiante pour son avenir.
Au nom du conseil municipal, Au nom de la commune de Dunières,
Sœur Michèle, Sœur Nicole, Sœur Paule,
Je vous dis : Prenez soin de vous, et surtout, surtout MERCI !
Pierre Durieux, Maire de Dunières
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom »][vc_column column_padding= »padding-2-percent » column_padding_position= »all » background_color= »#f4cd9a » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »10px » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none »][vc_column_text]Histoire de la communauté Saint-Joseph à Dunières
La fondation aurait eu lieu en 1648 au PUY, et le 29 septembre 1649, trois jeunes filles recevaient l’habit des sœurs.
On dit d’Anne DESCHAUX qu’elle fut « la première et la plus intentionnée à prendre l’habit des filles de la congrégation de Saint-Joseph ; par elle establie à Dunières » (Archives départementales). On aurait donc une femme leader qui en aurait entraîné d’autres. Dunières a une place particulière dans les premières communautés, car elle est citée comme modèle pour les maisons des campagnes, à la manière dont le Puy est modèle pour les maisons des villes.
Les sœurs auront très vite deux ans de noviciat imposés par le Concile de Trente.
A Dunières, les sœurs ont une mission paroissiale ; les jésuites qui y avaient une fondation et le curé de l’époque auraient eu une incidence décisive sur la communauté. Chassées à la révolution, les sœurs se tiennent cachées jusqu’en 1813.
La vieille demeure des seigneurs de la Roue fut vendue comme bien national, rétrocédée à ses anciens propriétaires qui le revendirent aussitôt à un particulier, puis achetée par les sœurs de Saint-Joseph, qui la firent réparer, et reconstruire pour y établir leur communauté et une école de filles, qui sera ouverte en 1827, par ordonnance royale de Charles X, ainsi qu’un asile pour les enfants de moins de 6 ans.
En 1970, l’école devient mixte. La communauté de Dunières a essaimé dès le départ : cela dit la qualité de ce qui s’y est vécu. C’était une communauté des campagnes, avec une forme de vie simple, et proche des gens, au service de la paroisse, et qui ne s’est pas embarrassée d’une reconnaissance institutionnelle, tant qu’elle n’a pas été nécessaire pour exister.
Cela peut inspirer des manières de vivre en Eglise au service de tous.
Merci aux Sœurs de Saint-Joseph[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom »][vc_column enable_animation= »true » animation= »flip-in » boxed= »true » column_padding= »padding-2-percent » column_padding_position= »all » background_color= »#f4ece6″ background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ font_color= »#424242″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »10px » width= »1/2″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none »][vc_column_text]
Prière à Saint-Joseph
A toi, Dieu a confié son Fils
En toi, Marie a remis sa confiance
Avec toi, le Christ est devenu homme.
O bienheureux Joseph,
Montre toi aussi un père pour nous,
Et conduis-nous sur le chemin de la vie.
Obtiens-nous grâce, miséricorde et courage,
Et défends-nous de tout mal. Amen
Pape François.
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