

Comme l’écrivaient les sœurs dans la feuille paroissiale après : « Nous restons dans l’action de grâce de cette journée vécue dans un climat de communion très fraternelle. Nous sommes restés en situation d’Eucharistie tout au long de cette journée… » où après la messe, les gens se sont retrouvés autour du verre de l’amitié puis d’un repas…[/vc_column_text]
Homélie de Monseigneur Didier Noblot :
Il y a deux types de campeurs. Celui qui arrive et veut SON emplacement. On se rappelle Claude Brasseur dans le film « camping ». Ce type de vacanciers a besoin de retrouver ses habitudes ; d’ailleurs, il a apporté de chez lui ses affaires, sa télé et, quand il y a une visite, il espère que les gens seront partis avant le début du film ! Et il y a celui qui a toujours de l’eau fraîche, dont la table est ouverte, pour qui la rencontre est toujours un cadeau.
Abraham et Marie font partie de ce second type, je nous propose de contempler les deux figures bibliques ; elles peuvent nous inspirer des grandes attitudes qui nous feront vivre un merveilleux été. Elles peuvent nous inspirer pour rendre grâce pour la présence de nos chères sœurs dans le Cantal en général depuis tant de décennies et à Ruynes en particulier.
Abraham
Nous venons de l’entendre, il n’hésite pas à se laisser déranger pour accueillir les trois marcheurs. Il accueille, il met sa maisonnée dans le coup en impliquant Sara sa femme. Il règne alors un climat d’excitation, de préparation et finalement de fête. Abraham est heureux et s’empresse. Il faut savoir que selon les règles de l’hospitalité à l’époque d’Abraham, recevoir une visite, c’est un honneur ! Celui qui est visité en est honoré. L’auteur du livre de la Genèse comprend que cette rencontre est plus que celle entre des marcheurs et un homme du désert. C’est véritablement une Visitation. « Parce que tu m’as visité, j’existe ! » Dieu vient rencontrer son peuple, il vient assumer la promesse, Sara aura un Fils et Abraham une descendance. C’est ce dont la vie religieuse est le signe dans l’éducation avec les élèves et les enseignants. Vous êtes nombreux à vous rappeler la présence des sœurs dans les établissements catholiques d’enseignement du Cantal. Et que dire de l’accueil ici chez les religieuses et les nombreuses visites si réconfortantes des sœurs. Nous serons fidèles à ce que nous avons reçu des sœurs si et seulement si nous choisissons Abraham comme modèle d’accueil et de rencontre.
Marie
Pour mieux contempler la qualité de sa présence, nous ne pouvons pas faire l’économie de regarder Marthe. Pour éviter toute confusion de lecture, soyons clairs dans la critique de Jésus à l’intention de Marthe, il n’est en aucun cas question de critiquer le service. L’Evangile ne fait l’éloge ni de la paresse, ni de l’inactivité. Ce qui est critiqué ici, c’est l’agitation de Marthe. Marthe, accaparée par les tâches, est en train de passer à côté de la rencontre. Vous savez, c’est comme ces mamans qui reçoivent leurs enfants et petits-enfants en vacances. Elles s’affairent, tout est toujours parfait, il ne manque jamais rien, sauf leur présence. Marie a compris, elle n’a pas rendez-vous avec les casseroles mais avec Jésus ; la vaisselle il sera toujours temps de la faire. Assise, à l’écoute, elle est le modèle du disciple. Marthe n’est même plus heureuse dans son service. Elle est comme ceux qui calculent : j’ai mis la table, alors c’est à toi de sortir les poubelles !
Nous
Jésus nous propose de ne pas passer à côté des rencontres que ces mois d’été vont nous permettre. Les sœurs puisent le zèle pastoral dans leur enracinement dans la prière et les sacrements, dans la méditation de la Parole de Dieu et la réalité exigeante et belle de la vie communautaire. Efficaces et discrètes, données et effacées, marquées par la spiritualité de Saint Joseph, nos sœurs, elles sont disciples et apôtres. Et c’est cela que nous aimons chez elles.
Plus largement, Jésus nous demande de ne pas passer à côté des rencontres de nos vies. Il nous recentre sur l’essentiel. Et ce qui fait une vie, c’est la qualité de nos relations.
Finalement, comme l’ont fait Abraham et Marie, comme en témoignent nos chères sœurs, nous sommes invités à vivre chaque rencontre comme celle où Dieu lui-même vient nous rencontrer. AMEN[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom »][vc_column column_padding= »padding-2-percent » column_padding_position= »all » background_color= »#f7f7e6″ background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »3px » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none »][vc_column_text]
Mot retraçant l’histoire des sœurs de Saint Joseph dans le Cantal :
Les sœurs de Saint Joseph et le diocèse de Saint Flour, c’est une longue histoire…
Certaines vous diront que c’est là, à Saint Flour, qu’est né un embryon de vie religieuse Saint Joseph vers 1645, avant même la reconnaissance officielle au Puy en Velay en 1650 par Mgr De Maupas. En effet, alors le Père Jean-Pierre Médaille, jeune jésuite originaire de Carcassonne est envoyé dans la région pour l’évangéliser, il y rencontre des femmes désireuses de se mettre au service de Dieu et du cher prochain avec lesquelles il commence « le petit Dessein ». Cette expérience se terminera en 1663 mais il y aura de nouveau trace d’une « congrégation et conférence de St Joseph » en 1664.
On peut faire remonter la présence des sœurs de Saint Joseph, de manière sûre, dans le diocèse depuis 1722 avec la création d’une communauté à Blesle qui est alors dans le diocèse. Présence qui sera mise à mal avec la Révolution. Après celle-ci, on voit réapparaitre des congrégations Saint Joseph d’abord à Allanches en 1807 qui donnera naissance à : Peyrusse, Marcenat, St Saturnin, Ségur-lès-Villas,… puis Pleaux en 1808 qui fondera Ally, Clavières en 1814, Coren et Neuvéglise en 1824, et enfin Pierrefort en 1843. Saint-Flour, quant à elle, fondera : Talizat, Condat, Saint Martin Valmeroux, Molompize, Egliseneuve (dans le Puy de Dôme), Montsalvy, Oradour, Menet,…. Chaque communauté est alors plus ou moins autonome. Mais toutes sont là pour travailler à l’union des Hommes entre eux et avec Dieu, servir les besoins « tant spirituels que corporels » de tout prochain rencontré dans l’éducation, la santé, la pastorale, dans des relations simples de proximité…
A partir de 1853, un mouvement d’unification commence à se mettre en place avec une formation commune dans la maison mère de Saint-Flour, puis le regroupement effectif des congrégations en 1885. Mais la congrégation continuera de fonder de nouvelles communautés : Lugarde, Paulhac, La Chapelle Laurent, Anglards de Salers, Mailhargues, Roffiac, Les petits séminaires de Saint-Flour et Pleaux, Riom-es-Montagne,… Au plus florissant, en 1895, on pouvait compter 225 sœurs et 25 communautés.
Le 20ème siècle est d’abord marqué par la loi de séparation de l’Eglise et de l’état en 1905 qui entrainera la laïcisation de certaines sœurs, des fondations en Belgique (qui s’éteindront avec la 1ère guerre mondiale)… mais les sœurs continuent d’œuvrer dans le diocèse :
- dans le domaine éducatif avec création d’écoles secondaires, de cours d’enseignement général, d’école d’enseignement ménager, de cours techniques,… même si certaines écoles primaires disparaissent aussi…
- dans le domaine hospitalier avec notamment création d’une clinique à Aurillac, d’un hospice pour vieillards à Pierrefort, et de nombreuses infirmières à domicile,…
- dans le domaine de la pastorale, catéchèse, liturgie, …
- il y aura même quelques envois en mission au Sénégal.
Le mouvement d’unification se poursuit au-delà du diocèse avec la fusion avec la congrégation des sœurs de Saint Joseph du Puy en 1966 puis l’union avec d’autres congrégations Saint Joseph en 1993 pour créer l’Institut des sœurs de Saint Joseph. Le nombre de sœurs diminuant et l’âge des sœurs augmentant doucement, les communautés se sont fermées.
Malgré tout, en 2006, une communauté a été fondée à Ruynes en Margeride sur le désir du Conseil de l’Institut de l’époque et celui du diocèse qui souhaitait une équipe d’animation pastorale pour la nouvelle paroisse créée où collaborent prêtre, religieuses et laïcs. Ainsi les sœurs ont œuvré avec vous dans ce chantier de restructuration des paroisse en cherchant à tenir ensemble le regroupement et la proximité, en mettant en place des équipes pastorales. Elles y ont offert leur petite part, témoins de l’engagement de nombreux chrétiens de la Margeride qui ont répondu aussi présents. Durant ces 16 années à Ruynes, les sœurs avec ce qu’elles étaient, ont partagé simplement vos joies et vos peines, la vie de l’Eglise de la paroisse et du diocèse. Aujourd’hui, l’heure est venue pour elles de vous quitter, la fragilité de l’âge, des santés se faisant davantage sentir, et la pauvreté de la congrégation ne nous permettant pas de renforcer la communauté. Nous le regrettons mais je sais aussi qu’elles emportent dans leur panier de nombreux fruits et légumes de cette vie partagée ici, de cette expérience de collaboration où chacun vit sa vocation baptismale dans la confiance, de tous ces liens d’amitié et de fraternité tissés. Elles vont le dire mieux que moi. Grand Merci pour elles. Et j’ose croire aussi que votre panier est aussi bien rempli et qu’il pourra ainsi vous aider à poursuivre le chemin autrement… Avec elles, nous continuons de vous porter dans nos prières de manière particulière, souhaitant que chacun puisse continuer à s’engager, à offrir sa part pour la vie de cette paroisse. Où que nous soyons, ici ou dans un autre lieu de mission, sachons être à l’écoute de l’Esprit pour, avec Lui, savoir rejoindre ceux et celles vers qui le Christ nous envoie aujourd’hui, sûrs qu’Il nous accompagne.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom »][vc_column column_padding= »padding-2-percent » column_padding_position= »all » background_color= »#f4f4f4″ background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »3px » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none »][vc_column_text]
Intervention du Père Jean-Paul Rolland, vicaire général, originaire de la paroisse :
Il y a donc un peu plus de 15 ans, une petite communauté de sœurs s’installait à Ruynes.
À l’époque, voir arriver des religieuses dans un presbytère, à la suite d’un prêtre, n’était pas sans interroger tel ou tel.
Je me souviens, à ce propos, d’une personne qui, tout en accueillant plutôt favorablement cette nouveauté, ne comprenait toutefois pas pourquoi les sœurs n’étaient pas autorisées à célébrer la messe ? C’était un échange qui ne manquait pas de saveur.
Ceci dit, très vite, mes sœurs, vous vous êtes intégrées dans la vie paroissiale, mais aussi dans la vie du bourg de Ruynes et des alentours. On vous croisait dans les églises, mais aussi chez les habitants, les commerçants, dans les salles des fêtes ou les mairies pour telles ou telles occasions, dans les bois pour les champignons, et bien d’autres lieux de vie encore.
Le Presbytère restait ouvert, et très vite, les uns et les autres : paroissiens, voisins, vacanciers, ont pu bénéficier d’une belle qualité d’accueil qui sera grandement appréciée pendant toutes ces années et jusqu’à aujourd’hui.
L’accueil, qualité indispensable pour qui frappe à la porte, qui plus est, la porte d’une maison paroissiale. Mais cette qualité n’a pas été la seule, d’autres se sont révélées dans vos activités paroissiales et communautaires.
Au-delà de votre implication liturgique, selon vos charismes propres, je pense à toutes celles et tous ceux, nombreux, et dont je fais partie, qui ont bénéficié largement de votre écoute, de vos conseils ; qui venaient se confier à vous et que vous avez su guider, réconforter, accompagner, encourager.
Installer, dans ce secteur de Margeride, des sœurs de la communauté Saint Joseph avait du sens, c’était, je pense une belle intuition, car nombre des habitants de cette paroisse ont été scolarisés ou ont scolarisé leurs enfants à l’institution St Joseph à Saint-Flour. Un établissement qui a compté et qui compte encore dans le paysage Sanflorain.
À de nombreuses reprises, j’ai été témoin, dans les rencontres des familles, des futurs époux, des jeunes parents… de la force des liens tissés entre les habitants de Margeride et Truyère, et vous les sœurs de St Joseph.
Pour annoncer l’Evangile, nous aurons beau user des plus beaux artifices de communication, avoir un beau journal paroissial bien rédigé, un beau site internet, une newsletter au top, Facebook, Twitter, Instagram, tiK tok et autres médias, rien de tout cela ne remplacera jamais les relations directes que nous établirons, les liens humains et fraternels que nous tisserons.
Mes sœurs, par votre présence communautaire à Ruynes, par votre immersion dans la vie de ce territoire, vous avez été ce métier à tisser l’humain. Avec discrétion, constance et beaucoup de patience, vous avez avancé l’ouvrage au rythme des cœurs et des vies de chacun.
Pour toutes ces raisons, au jour douloureux de votre départ, nous rendons grâce à Dieu pour vos 15 ans de présence ici parmi nous, nous rendons grâce pour l’œuvre que l’Esprit Saint a accompli par vous, et avec tous les laïcs engagés autour de vous et du prêtre : EAP, relais, équipes liturgiques, chorale, préparation aux baptêmes, visites aux malades, équipe responsable du temporel, accompagnement des familles en deuil et autres services indispensables : catéchèse, aumônerie, entretien des églises, fleurissement…etc
Ensemble, vous avez donné, un souffle constructif et une belle âme à cette paroisse Ste Croix en Margeride et Truyère, c’est un bel atout pour l’avenir.
Bonne route à vous mes sœurs et encore merci.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom »][vc_column column_padding= »padding-2-percent » column_padding_position= »all » background_color= »#f7f5ef » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »3px » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none »][vc_column_text]
Parole de Sœur Marinette Castanié, qui a été présente sur la paroisse durant les 16 ans :
« Merci à Béatrice et à Jean-Paul pour leur témoignage.
Merci aux prêtres qui nous ont accompagnées : Philippe, Jean-Paul, Franck.
Merci à chacun, merci à vous tous qui êtes là aujourd’hui pour rendre action de grâce pour ces 16 ans passés en votre compagnie. Merci à tous ceux qui ne peuvent venir et qui sont malades, pour les familles dans la peine accompagnées dans les préparations ou les célébrations.
Merci aux sœurs Régine, Marie-Pierre compagnes du début ; Merci à Jean-Marie et à Christiane venues me rejoindre suite au départ de Régine.
16 ans : j’ai eu la chance de côtoyer beaucoup d’entre vous, en catéchèse, en aumônerie, en liturgie, préparation de baptêmes, célébration et préparation d’obsèques… diverses réunions pour faire avancer ce qui est devenu la grande paroisse.
Nous avons pu cheminer, avec vous tous, grâce à votre participation active. Merci pour toutes vos attentions à notre égard, veillant à ce que nous ne manquions de rien.
Merci à nos sœurs du Cantal venues en nombre participer à la messe d’action de grâce à RUYNES. Merci à l’équipe d’animation pastorale et à tous ceux qui ont préparé cette journée.
Un merci tout spécial à Marie-Luce et Marie-No avec lesquelles j’ai travaillé en aumônerie des jeunes.
Je suis consciente que nous n’avons fait qu’une ébauche : à vous de continuer dans la confiance. Quelqu’un nous accompagne, vous accompagne.
Encore merci à tous. »[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom »][vc_column column_padding= »padding-2-percent » column_padding_position= »all » background_color= »#f7f5ef » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »3px » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none »][vc_column_text]
Parole de sœur Jean-Marie Vermande :
« Merci à toutes et à tous, à vous Monseigneur, au Père Rolland, au Père Savornin, à mes sœurs Marinette et Christiane pour votre soutien spirituel.
Merci à chaque personne de la paroisse de Ruynes qui a une quinzaine de communes. Merci pour les lettres et les communications téléphoniques, pour les moments de détente (tasse de thé), de sympathie, d’affection, d’échanges. Permettez-moi de me souvenir des personnes qui sont auprès de Dieu. Nos rencontres se passaient à prier, à parler de Thérèse de Lisieux. C’est là le sens des fleurs. Thérèse offrait beaucoup de fleurs à Dieu mais c’était pour elle des sacrifices.
Croyez profondément que tous les jours je suis avec vous tous dans la prière. Très très cordialement à toutes et à tous. Le Puy n’est pas fermé…. »[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom »][vc_column column_padding= »padding-2-percent » column_padding_position= »all » background_color= »#f7f5ef » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »3px » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none »][vc_column_text]Parole de sœur Christiane Thérèse Valette :
« Merci à vous tous qui êtes là et à ceux qui n’ont pas pu venir mais sont unis à nous en ce moment.
Merci à vous, Père Franck et paroissiens, nous m’avez accueillie avec joie, la confiance s’est établie et dans la liturgie, l’EAP, la préparation au baptême, vous m’avez appelée à donner, toujours en équipe.
Merci également pour les divers petits services, les rencontres vécus avec d’autres.
Bien souvent, peut-être sans le savoir, le visage de Dieu s’est révélé par vous : une parole, une attitude, un sourire, un geste qui parle au cœur, nous montre la présence du Seigneur à l’œuvre en chacun et pour tous. Merci.
Un très grand Merci à vous les plus jeunes qui, avec le sourire, commencez à prendre votre place dans l’animation des messe. C’est de la joie pour Dieu et pour tous.
Bonne journée, elle a été bien préparée, avec cœur. Merci. Nous resterons unis même à distance. »[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » overlay_strength= »0.3″ shape_divider_position= »bottom »][vc_column column_padding= »padding-2-percent » column_padding_position= »all » background_color= »#e5e5e0″ background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_link_target= »_self » column_shadow= »none » column_border_radius= »3px » width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none »][vc_column_text]
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